La Blockchain et le monde de l’art
Source d’inspiration pour les artistes, la blockchain ouvre également de multiples perspectives au marché de l’art. On pourra acheter des oeuvres avec des cryptomonnaies, établir des registres globaux de toutes les transactions ou encore utiliser les smart contracts pour garantir la sécurité et traçabilité des ventes. Explications avec Bertrand Scache (ECP86), CTO de Monart, première plateforme mondiale de blockchain consacrée à l’art.
Le monde de l’art est réputé opaque, géré de façon non transparente par un petit nombre d’acteurs, galeristes de renom, critiques d’art et experts, seuls à même d’authentifier des oeuvres, de suivre leur vie et de leur attribuer une valeur.
La blockchain peut dans ce cadre jouer son rôle d’un registre de transactions distribué, transparent et infalsifiable. À partir de l’identification initiale d’une oeuvre sur la blockchain, puis des enregistrements successifs de toutes les transactions,...
Auteur
dans des start-up, et enseigne à Sciences Po. Il participe à l’aventure Monart en tant que CTO.
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