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acb-ps.com
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10 septembre 2018

Sans elle, les avions ne pourraient voler

Implantée en pays nantais, ACB réalise des presses de formage et produit des pièces de tôlerie avionnables en titane pour les constructeurs et équipementiers mondiaux. Comment cette ETI a-t-elle réussi, en moins de vingt-cinq ans, à devenir incontournable dans le formage des métaux pour l’aéronautique ? Le point avec son directeur général, Christophe Rosière (ECN 77).


Quand de plus en plus de sous-traitants produisent en zone low-cost, ACB se développe de façon spectaculaire en pays nantais. Cette réussite industrielle n’est pas le fruit du hasard mais d’une stratégie fixée dans les années 1990 qui a orienté les activités de formage uniquement vers l’aéronautique, secteur alors balbutiant en Europe, en délaissant les secteurs porteurs comme l’automobile, devenu alors très concurrentiel.

Grâce à ses deux pôles industriels de Nantes et de Charlotte aux...

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Auteur

Christophe Rosière (ECN 77) a fait la moitié de sa carrière à Alstom. En 2000, suite à un spin-off des activités franco-américaines de presses de formage d’Alstom, il devient directeur général de la société française ACB. En 2016, il prend en plus la présidence de Dufieux, fabricant de grandes machines d’usinage cinq axes, racheté par Aries Alliance, maison-mère d’ACB.

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